Être de bonne humeur | Comment allez-vous ?

Dans cet article de mon podcast sur l’alimentation, « La pleine conscience du pouvoir », nous allons parler de l’humeur, car j’ai envie de vous demander comme vous allez. Après cette pause estivale, comment allez-vous, vraiment ? Interrogez-vous parfois votre humeur ? Rêvez-vous, parfois, d’être de bonne humeur en permanence ? Savez-vous repérer les périodes où vous n’êtes pas en forme ? L’étrange mot d’intéroception vous parle-t-il ? Je vous propose ici quelques pistes pour vous demander vraiment comment vous allez, y compris un exercice qui vous amènera à observer vos pensées sous un nouveau jour 😉 Selon votre besoin, cela pourra vous donner des outils pour appréhender autrement votre relation compliquée avec la nourriture, pour réussir à être de bonne humeur plus souvent, ou, plus généralement, et c’est encore plus important, à accueillir vos émotions avec bienveillance et clairvoyance.

L’été, période pour interroger notre état d’esprit et être de bonne humeur

J’aime bien ce moment de fin d’été, lorsque les activités reprennent tranquillement. J’aime cette ambiance de second premier janvier. Est-ce que vous aussi, vous réfléchissez à l’année qui commence ? Est-ce que vous profitez parfois de cette période pour prendre certaines décisions, pour adopter de nouvelles habitudes ou apporter quelques changements dans vos vies ? Ou bien est-ce qu’au contraire vous décidez de rester dans une certaine continuité ? Quoiqu’il en soit, ce qui me semble important, encore et toujours, c’est de décider et d’agir en conscience, en sortant du « pilote automatique ».

C’est pour cela qu’aujourd’hui, j’ai envie de prendre de vos nouvelles. Comment allez-vous ? Mais vraiment, sincèrement ? Avez-vous pour habitude de vous poser cette question ? Je trouve que ce n’est pas une question simple, et souvent, nous l’éludons – y compris moi-même. Aller y regarder de plus près peut nous faire peur. Mais surtout, nous n’avons souvent pas vraiment appris à y répondre… parce que cela parle de notre état émotionnel. Parfois même, nous avons l’impression qu’il « faudrait » en permanence être de bonne humeur, alors qu’à mon sens il est plus réaliste et plus bénéfique d’apprendre à accueillir son état émotionnel, quel qu’il soit. En tout cas, c’est ainsi que j’aborde cette question, que je vous invite à vous poser : « Comment est-ce que je vais, aujourd’hui, dans cet instant, dans cette période de ma vie ? ».

Les bénéfices à se demander – vraiment – comment on va

Réaliser, le cas échéant, qu’on fait passer les autres d’abord

Avec cet épisode, je vous propose quelques pistes pour répondre un peu plus facilement à cette question : comment est-ce que je me sens ? Qui est la personne la mieux placée pour prendre de vos nouvelles sinon vous-même ? Qui mieux que vous peut connaître votre état émotionnel du moment ? Savoir ce que je veux vraiment commence par me poser la question de “comment je me sens”. Ainsi, comme je le disais juste avant, en cette période de rentrée, période où nous décidons parfois de certains changements, nous pouvons commencer par cette question. Pourquoi est-ce si difficile pour certaines d’entre nous d’y répondre ? Je pense que c’est parce que nous n’avons pas l’habitude… Nous nous soucions souvent plus des autres que de nous-mêmes. Nous souhaitons être de bonne humeur pour égayer la vie des autres, même lorsque nous avons besoin de réconfort, par exemple. Je remarque cela systématiquement lorsque vous arrivez jusqu’à moi : vous faites toujours passer les autres avant vous. N’est-ce pas vrai ? Je n’ai pas envie là de me pencher sur le pourquoi du comment de ce phénomène (qui touche d’ailleurs plus particulièrement les femmes), car ce n’est pas le sujet de cet article. En revanche, nous pouvons en faire ensemble le constat.

Étudier son rapport avec l’alimentation

Y a-t-il un rapport avec votre relation compliquée avec l’alimentation ? Oui, parce que, chez nous toutes, il y a ou il y a eu des difficultés à vivre nos émotions qui nous ont fait nous tourner vers le réconfort de l’alimentation. J’en reviens donc à ma question. Vous avez remarqué, que je fais souvent des digressions ? 😉 Mes clientes le savent bien… Mais je finis toujours, je crois, par retomber sur mes pattes.

Alors, comment vous sentez-vous en ce moment ? Attention, je sais aussi que vous avez cette habitude de répondre un peu automatiquement : « Je vais bien ». C’est normal : c’est ce que nous faisons tous quand quelqu’un nous pose cette question – tout aussi automatique que sa réponse, d’ailleurs. Mais là, je souhaite que vous vous la posiez à vous-même, en toute honnêteté.

Les informations physiques sur notre forme

Comment faire pour y répondre ? Je vois deux façons de le faire, que je vais vous détailler. Tout d’abord, nous pouvons y répondre grâce à notre ressenti physique. Nos sensations corporelles, nous indiquent à chaque moment, comme une boussole infaillible, dans quel état émotionnel nous sommes. Ces indicateurs physiques peuvent nous montrer des tensions, des inconforts, qui nous renseignent sur nous-mêmes… même quand nous avons la sensation d’être de bonne humeur. Il est donc important de s’observer, de s’interroger : est-ce confortable ou inconfortable ? Voici quelques exemples : « Ah, j’ai une boule dans le ventre. Oh, je sens des tensions dans ma nuque. Tiens, mes mains sont crispées… »  ou encore : « Je respire largement ce matin, tiens, mes cuisses sont détendues, je sens de la chaleur dans mes pieds… ». Observez vos sensations corporelles et observez comment elles évoluent. Ces observations seules changent déjà quelque chose, n’est-ce pas ? Voyez comme l’inconfort peut se transformer. Voyez l’impermanence des choses et du moment. Ici, pas besoin de devenir une spécialiste du vocabulaire émotionnel ! Il est seulement question d’observer : est-ce agréable ? Est-ce désagréable ? Est-ce que je me sens tendue ? À quel endroit ? Suis-je détendue ? Quelles parties de mon corps sont concernées par ces sensations ? De cette façon, vous pourrez commencer à répondre à la question : « Comment est-ce que je me sens ? ».

Je sais que pour certaines d’entre vous, la coupure avec les sensations corporelles est telle qu’il vous semble impossible de pouvoir observer quoi que ce soit. Lorsque nous avons fait de nombreux régimes ou décidé (consciemment ou pas) de restreindre notre alimentation, cela nous a « appris » aussi à nous couper de nos ressentis, parce que c’était trop inconfortable. Idem si nous avons vécu ou vivons des compulsions : nous avons « appris » à ne plus entendre les signaux de notre estomac qui disait qu’il était plein. Nous avons « appris » à aller au-delà de cette sensation.

Par conséquent, la confiance dans les possibilités de notre corps à ressentir ce qui est bon ou pas pour lui, a disparu. Certaines d’entre vous, comme en témoignait Claudia dans l’épisode 6 du podcast, vivent la même chose pour la douleur ou la fatigue. Pour d’autres, ce sera l’envie de faire pipi. Elles peuvent ainsi rester une journée sans aller aux toilettes. Elles ont parfois appris cela, étant ado, en évitant les toilettes du collège ou du lycée. Le phénomène est le même avec le besoin de dormir : lutter contre la fatigue peut nous amener à ne plus ressentir clairement le besoin de sommeil.

La conscience intéroceptive et notre capacité à la développer

Qu’est-ce que c’est ?

En perdant ces signaux internes, nous perdons notre conscience intéroceptive. Késako ? De quoi s’agit-il ? L’intéroception, c’est un sens à part entière. C’est lui qui nous permet de capter les signaux internes de notre corps, comme ceux cités juste avant : la faim, la satiété, la soif, le besoin d’aller aux toilettes ou de dormir, etc. Un lien fort a été fait entre les difficultés de conscience intéroceptive et la mauvaise image corporelle. Idem avec les troubles des conduites alimentaires.

Comment développer ce sens ?

Ce sens, l’intéroception, peut, comme tous les autres sens, se développer et se travailler, en remettant de l’attention dedans. Je peux développer et entraîner mon odorat en me mettant en contact avec des odeurs, dans toutes leurs subtilités. Sauf problème physiologique, qui m’aurait fait perdre ce sens de l’odorat, je vais petit à petit le rendre plus précis et augmenter mon répertoire olfactif. C’est, par exemple, ce que font les personnes qui se forment à la création de parfum.

Pour la conscience de mes sensations corporelles, l’intéroception donc, je peux m’entraîner également. Des exercices de pleine conscience, par exemple et au hasard, vont pouvoir m’y aider 😉. Dans le pack d’audios de pleine conscience que je vous propose, vous trouverez une pratique du scan corporel, qui est un exercice classique de pleine conscience sur les sensations. Il en est de même pour l’observation de la respiration. Si vous êtes inscrite au groupe privé FacebookLe pouvoir des challenges”, vous pourrez également retrouver dans les replays des différents lives que j’ai proposés ces derniers mois, des exercices d’observation de vos sensations corporelles.

Où en êtes-vous ? Exercice pratique

Un moyen d’observer où vous en êtes de votre intéroception, ce peut être d’essayer d’observer vos battements cardiaques, en prenant un temps pour vous centrer sur vos sensations et votre respiration. Je vous propose de le faire dès à présent ! Installez-vous confortablement, sur une chaise par exemple. Vous pouvez, pourquoi pas, vous mettre allongée si vous le souhaitez, mais la position assise vous permettra plus d’attention. Décroisez vos jambes, posez vos pieds sur le sol, vos mains sur vos cuisses ou l’une dans l’autre. Prenez quelques instants pour sentir le contact de vos pieds par terre, le contact de votre assise sur le siège, le contact de vos mains. Prenez un temps pour prendre contact avec les sensations de votre souffle, à l’inspiration et à l’expiration. Effectuez plusieurs respirations et centrez-vous sur ces sensations. Puis, portez votre attention dans votre poitrine, sur la région de votre cœur. Visualisez cet emplacement et focalisez-vous sur les éventuels battements que vous pouvez ressentir. Peut-être que cette sensation n’est pas présente, là, tout de suite. Peut-être aurez-vous besoin d’un peu d’entraînement. Ce n’est pas grave du tout. L’important, c’est de prendre quelques instants pour observer, dans cette région du cœur, vos battements ou vos sensations. Cet exercice permet de faire le point sur votre intéroception. Naturellement, ce n’est pas le seul ! Je ne suis pas en train de dire que si vous n’arrivez pas là, tout de suite, à sentir les battements de votre cœur, ça signifie que votre sens intéroceptif n’est pas présent. Non non, ce n’est qu’une indication parmi d’autres. N’hésitez pas à vous entraîner et vous réentraîner. Utiliser aussi le contact sur le poignet, pour retrouver ces battements du cœur. Cela peut, en vous entraînant, vous aider à retrouver pleinement ces sensations.

Voici donc quelques pistes pour retrouver une conscience de vos sensations corporelles, conscience qui vous aidera à répondre à cette question : « Comment je me sens ? ». Si vous avez envie d’aller plus loin ou besoin d’aide dans ce travail, n’hésitez pas à me contacter, je répondrai à vos questions avec plaisir. Idem si vous utilisez le pack et avez besoin de précisions sur son utilisation.

La nécessité de connaître et accepter son état d’esprit pour pouvoir être de bonne humeur

À présent, peut-être avez-vous envie de prendre des nouvelles de votre état d’esprit ? Cet aspect aussi, est à prendre en compte, lorsque vous vous demandez comment vous allez. C’est une deuxième façon d’y répondre, qui peut être complémentaire – ou pas – de la précédente, axée sur les sensations corporelles. Comment répondre à cette question ? Que pourriez-vous dire, là tout de suite, sur l’état de votre état d’esprit ? Pourriez-vous sincèrement dire être de bonne humeur, ou est-ce plus nuancé que cela ? Quelles sont les pensées, les émotions qui vous occupent ? Quelles sont les expériences intérieures qui vous traversent, et quel en est le résultat sur la façon dont vous vous sentez ? Finalement, de quoi est composé notre état d’esprit à l’instant T ? De quoi est composé notre « comment je me sens », que nous pourrions résumer en « humeur du moment » ou, comme j’aime bien l’appeler, en « météo intérieure » ?

être de bonne humeur

Exercice pratique pour observer et accueillir avec bienveillance ses pensées

L’exercice du « flot de pensées »

Cette météo est composée de ces fameuses expériences intérieures. Comment pouvons-nous les observer ? Quel rôle jouent-elles sur notre humeur ? Ce qui m’aide le plus pour observer mes pensées et mes émotions, en plus des pratiques de pleine conscience dédiées à cela, c’est de faire ce que l’on appelle des « flots de pensées ». Il s’agit de mettre sur le papier tout ce qui me vient à l’esprit lorsque je me pose cette question : « Comment vas-tu ? ». L’idée, si vous souhaitez tenter cette expérience, est vraiment de faire courir le stylo sur le papier, ou les doigts sur le clavier, et de noter tout ce qui vous vient. Il n’est pas question ici de faire une prose construite, pas question de juger ce que vous écrivez. Il faut juste laisser venir toutes vos pensées, de les laisser couler, pour mieux les observer. Écrites, elles deviennent comme des objets que vous pouvez regarder pour ce qu’elles sont : juste des mots.

Les différentes modalités de pratique

Rappelez-vous ce que je vous ai dit dans l’épisode 13 du podcast, sur les pensées qui créent notre réalité : votre esprit facétieux vous propose à chaque instant des pensées, en mots ou en images, qui ne sont que des mots ou des images et que vous pouvez choisir de croire… ou pas. Vous pouvez vous laisser embarquer par elles, ou vous pouvez faire « pause » et décider de celles que vous écoutez ou non. En pratiquant cet exercice du flot de pensées, vous pouvez les observer « noir sur blanc », pour ce qu’elles sont : des mots, ou des images mises en mots. Bien entendu, vous pouvez décider de :

  • remplir une page, deux pages ou plus ;
  • écrire pendant un temps donné ;
  • arrêter quand plus rien ne vient.

Vous pouvez aussi « cibler » ce flot en vous posant une question précise. Je procède notamment ainsi quand une situation me tracasse. Je me demande alors : « qu’est-ce que je pense de… » et je laisse couler. Cet exercice peut devenir une habitude. Demandez-vous « Comment je me sens en ce moment ? » chaque matin, chaque soir, ou chaque semaine… quand vous voulez en fait.

Les avantages de cet exercice

Ce que j’en retire, c’est généralement plus de clarté. Lorsque cela concerne une problématique précise, quelque chose se “dégonfle” à l’intérieur de moi. Vous voyez ce que je veux dire ? Poser les mots fait que cela prend moins de place à l’intérieur. Au fil des mots apparaissent parfois des émotions et des pensées que je ne voyais pas. Je constate alors que des expériences intérieures étaient à l’œuvre sans que je m’en rende compte consciemment. Même si c’est moi qui écris tout cela et que je peux malgré tout laisser certaines pensées en arrière-plan, d’autres émergent et je peux alors décider de ce que je veux en faire… ou pas ! Vous vous souvenez, n’est-ce pas ? Nos pensées ne sont pas la réalité. Nous pouvons travailler dessus, décider de les suivre, de les croire, ou décider de croire le contraire ! Nous sommes maîtres à bord de notre esprit.

Dans les moments où je traverse des émotions difficiles, le flot de pensées m’aide à passer ce moment, voire, parfois, à comprendre pourquoi c’est difficile. Cela me permet d’être actrice du processus, à ne plus le subir.

Variantes et approfondissement

Certaines personnes préfèrent faire ce travail à l’oral, en s’enregistrant, comme si elles parlaient à une personne bienveillante qui les écouterait. Si cela vous inspire, je suis certaine que vous trouverez le moyen qui vous convient.

Qu’est-ce que vous pouvez en faire, ensuite, de ce « matériel » ? Après avoir fait cet exercice de mise en mots du contenu de notre esprit, il n’est pas étonnant que notre humeur soit maussade : « Ah bon ? C’est tout cela que je me dis ? » Le bon côté, c’est que nous pouvons alors, dans cette posture d’observatrice, prendre du recul, devenir bienveillante par rapport à tout cela. Attention, cependant ! Vous pourriez être tentée de vous dire : « Mais n’importe quoi, ma pauvre fille, tu en es encore là… Quoi ? Tu penses encore à ça ? »… ou autres pensées pas très sympas. Vous voyez ce que je veux dire ? L’idée, ce n’est pas du tout ça. Le but, c’est de pouvoir constater : « OK, tu penses ça, tu ressens ça. C’est comme ça aujourd’hui, c’est comme ça en ce moment. D’où viennent ces émotions ? D’où viennent ces pensées ? Est-ce vraiment ce que tu crois ? Est-ce vraiment vrai ? Est-ce cela que tu veux vivre ? ». Lorsque vous constatez avoir des pensées sur vous-même qui créent des émotions pas très agréables, je trouve intéressant de se questionner ainsi, d’interroger la légitimité de ces pensées, la place que vous souhaitez leur donner. Être de bonne humeur passe aussi par cela, par l’acceptation du fait que, parfois, nous ressentons de la tristesse, de la colère, de la peur, et que ces émotions sont normales et légitimes. Tout en gardant à l’esprit que nous pouvons choisir la place que nous leur accordons.

L’exemple des pensées et de l’état d’esprit autour de l’alimentation

Cette pensée récurrente est-elle vraie ?

Prenons un exemple. Mettons que vous constatez, en faisant cet exercice du flot de pensées, que revient, une ou plusieurs fois, une pensée telle que : « l’alimentation gouverne ma vie ». Vous constatez peut-être que les pensées en lien avec la nourriture prennent énormément de place dans votre esprit, voire même que vos actions sont souvent en lien avec votre relation avec la nourriture. Ça me rappelle le témoignage d’Anne, dans l’épisode 20 du podcast. Dans ce cas, vous pourriez vous poser cette question : « Est-ce que cette pensée est vraie ? Puis-je réellement dire que l’alimentation gouverne ma vie ? ». Peut-être que la réponse sera oui, et dans ce cas, vous pouvez vous poser à nouveau la question : « Est-ce que je suis sûre que c’est vraiment vrai ? N’y a-t-il pas des contre-exemples à cela ? ».

Comment cette pensée influence-t-elle votre humeur ?

Demandez-vous ensuite comment vous réagissez quand vous croyez cette pensée « l’alimentation gouverne ma vie ». Qu’est-ce qui se passe alors, en vous ? J’imagine que c’est quelque chose comme de l’inaction, de la résignation, n’est-ce pas ?

Enfin, demandez-vous comment vous vous sentiriez si vous ne croyiez pas à cette pensée, qui vous dit que l’alimentation gouverne votre vie. Quelles émotions vous ressentiriez alors ? Quelles actions vous entreprendriez ? Sans doute vous remettriez-vous en mouvement. Il est probable que vous sortiez de cette sidération, de cette résignation. Vous retrouveriez du pouvoir sur votre vie, vous redeviendriez actrice.

Vous voyez le message que j’aimerais vous faire passer ? Quand vous observez des pensées, posez-vous ces questions : « Est-ce qu’elles me servent ? Est-ce qu’elles me font du bien ? Est-ce qu’elles peuvent me servir pour être de bonne humeur, pour me sentir bien ? ». Si la réponse est oui : super ! Si c’est non… peut-être pouvez-vous décider de les laisser partir ?

Nous arrivons à la fin de cet article de mon podcast sur l’alimentation, « La pleine conscience du pouvoir ». Si vous avez des questions sur cet exercice, n’hésitez pas à me les poser, via mon site internet ou mon compte Instagram. C’est aussi ce style de travail que nous faisons ensemble avec mes clientes, lors de mes accompagnements. Parfois, c’est difficile de le réaliser toute seule : notre esprit est si habile qu’il peut nous faire penser que ces pensées, justement, sont la vérité et rien que la vérité… et nous laisser comme figée avec ça. Alors, comment allez-vous ? Que répondriez-vous à cette question, aujourd’hui ? Donnez de vos nouvelles, s’il-vous-plaît, cela me fera plaisir ! J’en profite pour vous remercier pour votre écoute, votre lecture et votre fidélité. Merci également pour les retours que vous me faites. Cela me fait chaud au cœur, à moi, qui m’occupe de l’écriture, de l’enregistrement et des interviews, ainsi qu’à Qatsi, qui fait les retranscriptions pour le blog et à Pascal, mon mari, qui s’occupe des montages et des mixages.

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